028 Gabon@isdabord

Publié par Pambo Hervé sur 25 Juin 2009, 15:45pm

Gabon@isdabord

Hervé PAMBO MBOUMBA

Attention ! Ce texte est en correction bien que son esprit reste inchagé

j'espère recevoir vos remarques et suggestions

La société gabonaise évolue vers la définition d’une nation au sens politique du terme. Comment en peut-il être autrement au regard du développement économique et social et de la mondialisation ?

Sur le plan culturel nous passons progressivement de la tradition orale à la numérisation. Les seules références au patrimoine culturel se perdent au profit de l’universalité.

Dans 50 ans au plus nous allons être obligé de valoriser l’apprentissage de nos langues non pas au village ou à la maison mais à l’école virtuelle, en nous appuyant si nous nous sommes pris à temps, sur des documents numérisés de nos cultures anciennes reproduisant nos langues, nos rites et nos coutumes.

C’est dans les métropoles, sièges de la haute administration et des institutions politiques que sont concentrés 60% à 70% de la population.

Cette population est majoritairement scolarisée, intellectuelle. Elle est coupée des repères d’une culture obsolète ne répondant que très peu aux exigences des nouvelles valeurs sociales que sont l’excellence.

La communication est le vecteur de l’excellence car on peut tout apprendre, échanger, gérer, contrôler par ses extensions dont la quantité, la vitesse, la fiabilité ont été parfaits par la numérisation.

Il apparaît aujourd’hui plus logique de définir une société moderne qui obère les clivages ressortant des replis identitaires.

80% de la population active comprise entre 25 et 45 ans est né, a fait l’école et travaille dans les centres urbains.

Ses comportements sociaux sont plus marqués par une plus grande tolérance, voir une complicité dans les rapports ethno linguistiques et religieux.

Ce ne fut quand même pas une moindre difficulté et le mérite revient à la politique d’unité nationale de OBO consolidée au cours de ses quarante deux ans de pouvoir.

Dans le double contexte de la paix et du développement, le Gabon se forge donc un modèle de société, homogène, autour de l’universalité.

Il apparaît également plus évident d’avoir à fédérer les citoyens de tout bord notamment au plan politique autour de : l’excellence, l’élitisme, la justice, la solidarité, l’ordre et l’éthique.

…/…

Ce dont on à besoin dans nos hameaux et contrées, c’est des groupements d’hommes d’affaires privés nationaux et étrangers qui viennent investir dans les secteurs moyens de l’agriculture et de l’industrie en préservant l’environnement.

L’Etat doit s’efforcer à garantir le développement des voies de communications : terrestres, fluviales et aériennes. Ainsi que les charges régaliennes publiques que sont l’éducation, la santé, la sécurité, la justice etc.…

L'heure est venue, plus que jamais,

de respirer, de penser et de vivre "Gabon d'abord".
"Gabon d'abord", plutôt que "mon ethnie d'abord"
"Gabon d'abord", plutôt que "ma " province d'abord"
"Gabon d'abord", plutôt que "mon parti politique d'abord"

Oui, mes chers compatriotes,

"Gabon d'abord", pour plus de solidarité et de partage,
"Gabon d'abord", pour rompre avec l'égoïsme,
"Gabon d'abord", afin que le progrès économique et le bien-être social soient à la portée de tous.

Hadj Omar BONGO ONDIMBA

gabonaisdabord@yaho.fr

gabon@isdabord soutiendra, le bord politique, le candidat représentant au mieux les valeurs de ce concept.