Plus tard, par l’actualité, je m’accrochais au développement vertigineux de l’informatique.
Je m’offris mon premier PC(1) (ordinateur), soulagé enfin de me passer d’une
dactylographe ou d’un collaborateur qui n’avait pour tout argument que de s’appesantir sur mes qualités graphiques - bien entendu difficiles - alors que bien souvent, il ne comprenait même pas
sur un texte stéréotypé, le sens des mots et des phrases que j’utilisais.
(1) un Amstrad CPC 6128 avec son imprimante à bande en 1987