LE GRAND DOSSIER DE BELINGA

BELINGA, une arnaque à grande échelle: le Gabon ne bénéficie que de 10% de sa richesse.

La Redaction de Medias241
14 décembre 2023

Derrière les promesses de développement industriel se profile une réalité obscure que révèle le scandale minier de Belinga. Malgré son statut de prétendu catalyseur du progrès, l’accord minier en question ne bénéficie qu’à hauteur de 10% au Gabon. Des dirigeants peu scrupuleux semblent être complices d’accords miniers discutables, mettant en lumière un écart inquiétant entre la législation gabonaise et les pratiques de certaines sociétés étrangères. Cette enquête met en évidence les anomalies et les incohérences dans la convention d’exploitation du fer de l’Ogooué-Ivindo, soulevant des questions cruciales sur la souveraineté du Gabon.

Au cœur de la province de l’Ogooué-Ivindo résonne une ritournelle alarmante, celle du gisement de fer de Belinga, trésor national découvert en 1955. Ce site est aujourd’hui le théâtre d’une convention minière controversée, signée en février 2023 entre le Gabon et Ivindo Iron SA, coentreprise majoritairement détenue par le géant minier australien Fortescue Metals. Cet accord, prévoyant un investissement de 200 millions de dollars pour les années 2023-2024, soulève des préoccupations majeures quant à sa conformité avec le Code minier gabonais.

Une analyse approfondie du contrat de 91 pages, croisée avec le Code minier, expose des manquements flagrants. L’obtention du permis d’exploitation aurait omis des étapes réglementaires cruciales, en contradiction avec la législation gabonaise. De plus, la spoliation des droits d’autres opérateurs et des taux de redevance miniers contestables soulèvent des préoccupations quant à la prédominance des intérêts de l’entreprise étrangère au détriment de la souveraineté nationale.

La signature du contrat à Dubaï en février 2023 par les ministres Elvis Ossindji et Nicole Janine Roboty, ainsi qu’André Baya pour Ivindo Iron, expose une complicité étroite entre les dirigeants gabonais et les entreprises étrangères. Les visas présidentiels attestent de cette implication, révélant une collaboration suspecte aux dépens des ressources nationales. Mohamed Aliou Oceni, directeur de cabinet adjoint à l’époque, est désigné comme l’instigateur présumé de cette affaire depuis le palais présidentiel.

Au-delà des considérations financières, le cas de Belinga soulève des questions éthiques et souveraines. La gestion transparente des ressources naturelles, en conformité avec les lois nationales, est cruciale pour le bien-être des populations. Les anomalies dans la convention minière ne sont pas seulement des infractions légales ; elles touchent au cœur de la gouvernance, de la justice et de l’avenir du Gabon. Face à cette menace pour les générations futures, un sursaut collectif s’impose pour dénoncer ces agissements et protéger les richesses du sous-sol gabonais de l’avidité des compagnies étrangères.
 

* Ce transport par camions est une absurdité.
Inimaginable dans aucun autre pays !
Encore un effet d'annonce !
La Chine qu'on a écoeurée en s'acharnant, au départ du projet BELINGA SANTA CLARA, sur les rétro commissions et les pots de vin, intégrait TOUT (la mine, le barrage hydroélectrique, le chemin de fer et le port en eau profonde).
Même pour le barrage, on aurait pu faire, d'une pierre deux coups, en exploitant les chutes de l'Okano, plutôt que celles de kongou.
Nous attendons vos contributions ici. 
l'État et ses régimes criminogènes, devra répondre, de ce scandale, pendant le DIALOGUE NATIONAL
On veut des NOMS !

* Le chemin de fer, en partant de BELINGA, était là meilleure option.
Une seule hirondelle  (qq camions jaunes, d'ocaz) ne fait pas le printemps.

* Est ce que le président fondateur, Jacques Foccart et De Gaulle sont encore là vivants pour bloquer et retarder l exploitation des riches gisements de Fer de BELINGA et MEKAMBO SOMIFER...?

Non ....non ....non 

Le temps appartient à dieu ...le maîtres des circonstances....il nous revient à nous GABONAIS d Avoir des grandes ambitions pour notre pays et de ne pas toujours voir petit ....rêvons grand et donnons nous les moyens...cessons de voir que ce projet BELINGA est l Affaire des Ogivins d Abord...cessons de penser que c est d abord une affaire de L OGOOUÉ IVINDO et ses enfants...non ...non c était pas ça la vision du père de l indépendance Léon MBA qui voyait loin et pensait Gabon d Abord éternel...

GABON D ABORD avec tous et pour tous....

C est la vérité de dire que c est la Françafrique de Foccart et De Gaulle qui avait fait échouer le rêve et les espoirs du peuple du Gabon d Abord à BELINGA....

La France ne voulait l Oncle Sam ....la puissante Amérique et sa sidérurgie à BELINGA et les industriels français et les gaullistes l ont confirmé...le Gabon est la chasse gardée de Lutèce....L ancien colonisateur du Gabon avait les moyens de sa politique pour empêcher l exploitation du riche fer du Gabon d Abord par la concurrence ( CEE / Europe unie et les États unis géants du Fer et de L acier dans l après guerre 45....la France ne craint elle pas toujours la concurrence des Américains...des européens allemands...des chinois et asiatiques qui ont une avance en sidérurgie et métallurgie dans le monde entier ?

* Quand on fait de préférence la politique politicienne comme sous l ère de la rénovation Au Gabon du parti unique et ses ombres ...on refuse la vraie politique du développement durable et National ..on compte sur la Françafrique pour casser les bons projets d investissements et de développement économique et social.....on refuse que le Fer de BELINGA et MEKAMBO SOMIFER soit une priorité...on refuse que le chemin de Fer Owendo BELINGA arrive à destination...... comme prévue...par le père de l indépendance...on diabolise la mine de fer et les habitants de BELINGA ,les empêcheurs de tourner en rond...on se lance dans des nouveaux projets fous et pharaoniques....on vous chante L unité Nationale et la paix comme le pain béni du seigneur....on s enrichit et s en mains pleins les poches dans les Boom pétroliers des années 70 80 ( Les comptes off shore font leur apparition au Gabon d Abord...le pays compte déjà ses premiers Milliardaires en pétrodollars...ça baigne ...sous rénovation rénovée...) ..on crie déjà dans les beaux quartiers résidentiels de Libreville à nous les Milliards de FCFA et devises..En 2009 ,..L émergence qui suivra la rénovation n a rien inventé sous les tropiques et L Équateur ....le président fondateur ,le Guizot africain des années 70 80...avait demandé sous son long magistère sans partage du pouvoir : enrichissez vous mes amis 

et frères Lumières...mais sachez que l Argent public malhonnêtement gagné un venin...qui est fou pour mourir pauvre et seul dans la vie ?

En tout cas pas le rusé et malin prèsident fondateur ....qui avait toujours une longueur d avance sur chaque coup .... sacré petit piment !

* Quelle belle envolée lyrique ! Tout a une fin. Nous sommes à l'ère du Verseau, c'est-à-dire le temps de la restitution. Le temps que sa richesse profite au peuple.

*L'OGOUEE IVINDO une Province richement bénie et encore inexploitée. 

*Que les populations locales soient les premières bénéficiaires (infrastructures, emplois etc.) on a vu de mauvais exemples avec d’autres sociétés !! Des retombées sur le long terme 

*Avec l'arrivée du nouveau président, nous espérons que l'exploitation du fer de Belinga devienne un véritable facteur de développement pour le Gabon en général et pour l'Ogooué-Ivindo en particulier.

*Evariste Robson Mendome oui ...c est le souhait du peuple gabonais des 9 PROVINCES unies et indivisibles...enfin que la mémoire du premier président de la République Gabonaise et père de l indépendance, le père du projet Minier Fer de BELINGA et MEKAMBO SOMIFER soit enfin réhabilité....et comment ?par la mise en route véritable de cette affaire BELINGA qui n a que trop et trop duré...

* Ces camions neufs ou d'occasion devront parcourir plus de 400 km pour arriver à  Booué avec 50 tonnes de Minerais de fer, apparemment, non traité. Pour évacuer 2 millions de tonnes par an il faut mettre tous les jours 110 camions sur la route. 
Est ce que la société exploitant le gisement de Belinga va nous construire une route lourde pour supporter ce trafic? 
Quid des 20 millions de tonnes/an annoncées initialement pour ce projet.  
Si nous ne sommes pas prêt, soit on construit des hauts fourneaux sur place pour produire de l'acier made in Gabon soit on ne fait rien.

Réponse 
Ce transport par camions est une absurdité, inimaginable dans aucun autre pays !
Encore un effet d'annonce !
La Chine qu'on a écoeurée en s'acharnant, au départ du projet BELINGA SANTA CLARA, sur les rétro commissions et les pots de vin, intégrait TOUT (la mine, le barrage hydroélectrique, le chemin de fer et le port en eau profonde).
Même pour le barrage, on aurait pu faire, d'une pierre deux coups, en exploitant les chutes de l'okano, plutôt que celles de kongou.
Nous attendons vos contributions ici. 
l'État et ses régimes criminogènes, devra répondre, de ce scandale, pendant le DIALOGUE NATIONAL
On veut des NOMS !

AN

Aujourd'hui, la ligne Belinga Santa Clara ne peut pas prospérer car la jetée a  construire au cap serait de 2 km pour avoir des fonds acceptables.  De plus la  ligne de Ndjolé a lbv pose des problèmes depuis un moment duent à la capacité de portance de cette voie.

Solution : 

Le viaduc comme à Port Gentil - Omboué.

C est vrai ...Omar était en fin de règne...mais le vrai maître du Gabon a le dernier mot sur tous grands travaux de développement économique et social du Gabon...la France de Nicolas Sarkozy a dit Niet ...les accords secrets et privilégiés ont été respectés par la marionnette de Paris et Jacques Foccart...Omar Bongo ondimba...en résumé pourquoi BELINGA bloque ...?
Le motif est :
<< le Gabon fait partie de la sécurité nationale de la République française>>....pour avoir vécu près des milieux Militaires et agents secrets...ce langage diplomatique de L ex Ambassadeur de France au Gabon le corse Louis Dominici, homme de droite proche de Pasqua,Chirac et Omar Bongo..en mission au Gabon ( 1986/1994)... décryptage du message du représentant de Paris au Gabon...
Le Gabon appartient à la France d Abord...les ressources naturelles du Gabon d Abord ( forestières, minières, minérales..) sont la propriété de L État français qui tient la République Gabonaise et place ses hommes et marionnettes et marionnettistes au pouvoir au Gabon...selon un ordre voulu par L Elysée ( qui assure la présidence de la République Gabonaise)
Pour avoir été avec les hommes de L ombre du régime PDG Bongo...j ai compris ce langage ..cela signifie que quiconque ose contrecarrer la volonté politique de L  Elysée au Gabon doit être éliminé par tous les moyens ( mort Politique, élimination physique...)...
Et c est Omar Bongo qui avait cette feuille de route remise par L Elysée à la République Gabonaise...L OGOOUÉ IVINDO ne souffre pas par hasard...ça remonte à la colonisation française....pour l HISTOIRE....les richesses du Haut Ogooué comme L uranium stratégique et utile pour la République française ( énergie nucléaire,bombe atomique)...a été décisive dans la décision de L Elysée et du Sdece français ( DGSE , services spéciaux de la France)....de positionner un fils du Haut Ogooué ( ABB était il vraiment du G2)...?
Dans les plans secrets du Général de Gaulle et Jacques Foccart...le Gabon avait en plus du pétrole....coup double...et la France perdit L Algérie francaise en 1962...les cadres et notables du haut Ogooue autrefois région rattachée au congo Brazzaville... jusqu'en 1946...la France de l après guerre 45 étant en phase de reconstruction ...dans les années 50/60 .... fallait trouver en Afrique équatoriale française un point d ancrage pour maintenir la domination française sur ses colonies.... décision est prise de gérer la marionnette Léon Gabriel MBA et de la remplacer par une autre marionnette sous contrôle des services français et L Elysée pour la France qui gagne... Albert Bernard Bongo est mise en orbite...en Mars 1993....Maurice Robert colonel retraite des services secrets français ( le Sdece aujourd'hui DGSE) et ancien ambassadeur de France au Gabon ( 1979/1981) ... révèle comment.les services spéciaux français avait choisi  le jeune sans diplôme mais énergique... Albert Bernard Bongo au sein du groupe Bateke du sud est Gabon ..les Batekes du Royaume de MAKOKO sont les amis de la France ...deux amis au double langage et adeptes de la fourberie .... Albert Bernard Bongo fiché par les services secrets français avait eu a flirté dans les années 50 avec les milieux gauchistes de L AEF à Brazzaville où le jeune Bongo repéré par la France et ses agents secrets allait ensuite pénétrer les réseaux de la future Nébuleuse en gestion à la fin des années 50 ...La célèbre Françafrique....Noir de peau mais français de coeur .. Albert Bernard Bongo savait qu il allait devenir le 2e prèsident de la République Gabonaise sous contrôle de L Elysée...au début des années 60....ce que confirme l Espion du Sdece et d Elf Aquitaine le colonel à la retraite Maurice Robert...
<< Albert Bernard Bongo avait un sens Politique grand ...ce jeune homme Bateke était dans nos tablettes ( fiché et suivi depuis Brazzaville et fort Lamy au Tchad)...Ce jeune homme avait besoin de nous  .. comme nous avons besoin de lui ... Albert Bernard Bongo...<>>
Dans le monde de l ombre et des renseignements ...les services secrets...ce sont eux qui te choisissent et t emploient et non le contraire...les critères pour appartenir à ce monde sont stricts et précis ... Albert Bernard Bongo n était rien mais il a eu la grâce d appartenir à la bonne ethnie et à la bonne province pour la France et ses intérêts vitaux d Abord..... veuillez m excuser de ce langage direct mais vrai....Oui la France choisit qui elle veut dans ses colonies ou pays partenaires.... Albert Bernard Bongo était une clé ....qui a fermé au Gabon et à l OGOOUÉ IVINDO la porte du développement durable...>>

le 2e prèsident du Gabon,Omar Bongo a déclaré aux fils et filles de L OGOOUÉ IVINDO lors des réunions Politiques ...qu il ne fera rien pour le développement de l Ogooué ivindo...tant qu il sera au pouvoir ...l.homme de Foccart à la tête du Gabon..était colérique...en plus Albert Bernard Bongo n avait jamais digéré le fait que l OGOOUÉ IVINDO ait permis au curé engagé contre le PDG Parti unique...et Fang ( ennemi du pouvoir PDG Bongo) de fuir de Makokou pour le Cameroun d Ahidjo Amadou en février 1973 en pleine affaire Gabon / Banque mondiale/USA sur le projet de chemin de Fer Owendo BELINGA...Omar Bongo n a jamais pardonné aux Ogivins cette collusion avec l abbé Paul MBA Abessole ( prêtre opposant au régime PDG en séjour dans l OGOOUÉ IVINDO d Août 1969 à février 1973)..
C est le père Paul MBA Abessole curé de la paroisse notre dame des Victoires de Makokou qui eveille les consciences des fidèles catholiques Ogivins sur les projets politiques du jeune prèsident Albert Bernard Bongo et ses maîtres blancs français en 1968/1973...
Ç avait été décidé à L Elysée et Les milieux catholiques informés que le chemin de Fer Owendo BELINGA n ira plus chercher le Fer de BELINGA et MEKAMBO SOMIFER....ABB Rusé et malin cache la vérité aux Gabonais et Gabonaises et les fait croire que le Transgabonais se fera ...sans changement de cap ... rusé et malin comme un sioux ..l ami de la France a deux hommes de main pour réussir son projet de modification du tracé du chemin de Fer Owendo BELINGA,projet phare initié par le père de l indépendance... Albert devient Omar par conversion et rêve de durer au pouvoir dès 1973... il peut compter Sur Georges Rawiri ( Ami de longue date depuis la disparition de Léon MBA) et surtout sur un fils de L OGOOUÉ IVINDO dont la mère est Kota de Lastourville et père saké de Booue... Raphaël Manamikaka ( connu sous le nom de Mamiaka )...
Le tour est joué.....en 2003 lors des fêtes tournantes en OGOOUÉ IVINDO...le Général Mamiaka Raphaël baron du régime PDG Bongo père...et doyen Politique du G2 longtemps accusé par les Ogivins  d avoir retardé la région de l OGOOUÉ IVINDO...répond à une question de Radio Gabon sur l affaire Transgabonais Owendo BELINGA...
<< Je n avais pas le pouvoir de décisions >>
En clair ...c est Omar Bongo qui décidait de tout ...le président de la République chef de L État originaire du Haut Ogooué avait le pouvoir et la décision finale ...si l on décrypte les propos du Général Raphaël Malmiaka en Août 2003 ( reprise des fêtes tournantes et développement du Gabon)...Omar Bongo et le Haut Ogooué étaient mariés pour la vie ...OB= G2...le Haut Ogooué d Abord....en Afrique qui a le pouvoir a le dernier mot...sur le développement national ou régional ...la France avait mis Omar Bongo au pouvoir pour ses intérêts vitaux et le Haut Ogooué d abord...c est un secret de polichinelle...
Le reste n est que distraction et brouillage des pistes ..

BELINGA, une arnaque à grande échelle: le Gabon ne bénéficie que de 10% de sa richesse.

La Redaction de Medias241
14 décembre 2023

Derrière les promesses de développement industriel se profile une réalité obscure que révèle le scandale minier de Belinga. Malgré son statut de prétendu catalyseur du progrès, l’accord minier en question ne bénéficie qu’à hauteur de 10% au Gabon. Des dirigeants peu scrupuleux semblent être complices d’accords miniers discutables, mettant en lumière un écart inquiétant entre la législation gabonaise et les pratiques de certaines sociétés étrangères. Cette enquête met en évidence les anomalies et les incohérences dans la convention d’exploitation du fer de l’Ogooué-Ivindo, soulevant des questions cruciales sur la souveraineté du Gabon.

Au cœur de la province de l’Ogooué-Ivindo résonne une ritournelle alarmante, celle du gisement de fer de Belinga, trésor national découvert en 1955. Ce site est aujourd’hui le théâtre d’une convention minière controversée, signée en février 2023 entre le Gabon et Ivindo Iron SA, coentreprise majoritairement détenue par le géant minier australien Fortescue Metals. Cet accord, prévoyant un investissement de 200 millions de dollars pour les années 2023-2024, soulève des préoccupations majeures quant à sa conformité avec le Code minier gabonais.

Une analyse approfondie du contrat de 91 pages, croisée avec le Code minier, expose des manquements flagrants. L’obtention du permis d’exploitation aurait omis des étapes réglementaires cruciales, en contradiction avec la législation gabonaise. De plus, la spoliation des droits d’autres opérateurs et des taux de redevance miniers contestables soulèvent des préoccupations quant à la prédominance des intérêts de l’entreprise étrangère au détriment de la souveraineté nationale.

La signature du contrat à Dubaï en février 2023 par les ministres Elvis Ossindji et Nicole Janine Roboty, ainsi qu’André Baya pour Ivindo Iron, expose une complicité étroite entre les dirigeants gabonais et les entreprises étrangères. Les visas présidentiels attestent de cette implication, révélant une collaboration suspecte aux dépens des ressources nationales. Mohamed Aliou Oceni, directeur de cabinet adjoint à l’époque, est désigné comme l’instigateur présumé de cette affaire depuis le palais présidentiel.

Au-delà des considérations financières, le cas de Belinga soulève des questions éthiques et souveraines. La gestion transparente des ressources naturelles, en conformité avec les lois nationales, est cruciale pour le bien-être des populations. Les anomalies dans la convention minière ne sont pas seulement des infractions légales ; elles touchent au cœur de la gouvernance, de la justice et de l’avenir du Gabon. Face à cette menace pour les générations futures, un sursaut collectif s’impose pour dénoncer ces agissements et protéger les richesses du sous-sol gabonais de l’avidité des compagnies étrangères.